C’est bien plus qu’un prestataire : c’est votre copilote créatif.
Une agence de communication accompagne les marques dans la façon dont elles prennent la parole, se présentent au monde, et interagissent avec leurs publics.

Ses missions :
– Révéler l’ADN d’une marque à travers une identité forte et cohérente
– Mettre en valeur ses offres grâce à des dispositifs créatifs et multicanaux
– Activer les bons leviers pour atteindre les bonnes personnes, au bon moment

Communiquer, ce n’est pas simplement transmettre une information, c’est faire vibrer un message, provoquer une émotion, déclencher une action.

C’est une traduction permanente entre ce que vous êtes et ce que vous voulez que les autres perçoivent.

Elle répond à trois questions clés :
– À qui je parle ?
– Pourquoi je parle ?
– Comment je parle pour être entendu ?

C’est l’art de comprendre les gens avant d’essayer de les convaincre.
Le marketing écoute, observe, analyse, puis agit : pour répondre à un besoin, résoudre un problème ou anticiper une attente.

Un bon marketing ne pousse pas un produit. Il attire, il rassure, il séduit.
Il tisse des liens de confiance à long terme, en s’appuyant sur une connaissance fine des usages, des motivations et des comportements.

C’est garder les yeux ouverts dans un monde qui change vite.
Faire de la veille, c’est capter les signaux faibles, suivre les tendances, surveiller les innovations et écouter ce que dit (ou ne dit pas) votre marché.

La veille stratégique est un outil de décision. Elle éclaire vos choix, vous alerte sur les opportunités, et vous aide à anticiper plutôt que subir.

Elle peut être concurrentielle, technologique, sectorielle ou culturelle.
Mais une chose est sûre : elle doit être régulière, structuré et partagée.

C’est transmettre, mais aussi transformer.
Une bonne formation ne se contente pas de livrer du savoir : elle éveille, stimule, fait grandir. Elle donne envie d’apprendre et les moyens de progresser.

La formation permet de monter en compétences, de gagner en autonomie, de s’ouvrir à d’autres méthodes ou de s’approprier de nouveaux outils.

Elle peut prendre mille formes : présentiel, distanciel, ateliers, e-learning, coaching…
Mais elle suit toujours un même objectif : permettre à chacun d’évoluer à son rythme, avec clarté et impact.

C’est celui qui prend la parole.
Une entreprise, une marque, une institution qui souhaite faire passer un message, promouvoir un produit, défendre une cause ou lancer une campagne.

L’annonceur définit le « pourquoi », le « quoi », le « à qui », et le « combien ».
Il fait appel à des partenaires (agences, freelances, médias…) pour construire le « comment ».

L’annonceur est le cœur stratégique de toute action de communication. C’est de lui que tout part et vers lui que tout doit revenir.

C’est le cœur du message.
Une cible désigne les personnes que l’on cherche à atteindre, toucher, convaincre, activer.

Elle peut être définie par des données :
– Démographiques (âge, genre, situation familiale)
– Géographiques (lieu de vie, région, pays)
– Socio-professionnelles (métier, statut, niveau de revenu)
– Comportementales (usages numériques, centres d’intérêt, mode de consommation)

Mais au-delà des chiffres, une cible, ce sont des êtres humains avec des besoins, des émotions, des frustrations.
Pour bien communiquer, il ne faut pas juste savoir « à qui on parle »… il faut comprendre « ce qui les touche ».

Un lead est un contact qualifié : une personne qui a manifesté un intérêt pour votre entreprise, vos services ou vos contenus.

Il ne s’agit pas encore d’un client, mais d’une opportunité commerciale : quelqu’un qui a cliqué, téléchargé, rempli un formulaire ou posé une question.

C’est le début d’une conversation.
Et c’est en entretenant cette relation avec justesse que vous pourrez transformer un simple contact en véritable client.

L’audience désigne l’ensemble des personnes exposées à vos contenus : posts, vidéos, podcasts, newsletters, publicités, articles…

Elle peut être large ou ciblée, fidèle ou de passage, silencieuse ou engagée.
Comprendre son audience, c’est écouter avant de parler. C’est adapter sa forme, son ton, son rythme… pour créer de la résonance.

Une audience ne se décrète pas. Elle se construit, se mérite, se cultive.

Quand une entreprise s’adresse au grand public.
C’est vendre un produit ou un service à des particuliers — dans un magasin, sur un site e-commerce, via les réseaux sociaux.

La communication B2C mise sur l’émotion, l’expérience, l’immédiateté. Elle doit capter l’attention, éveiller le désir, inciter à l’action.
Le lien est souvent plus affectif, plus direct, plus intuitif.

Mais attention : plus on parle à « tout le monde », plus il faut être précis pour ne pas se noyer dans la masse.

Quand une entreprise parle à une autre.
Le B2B désigne les relations commerciales entre professionnels : ventes de services, logiciels, matériel, conseil, formation…

Les messages sont souvent plus rationnels : gain de temps, retour sur investissement, expertise, fiabilité.
Mais cela ne veut pas dire qu’il faut être froid ou distant. Derrière chaque entreprise, il y a des humains.

Une communication B2B réussie est claire, utile… mais aussi inspirante et incarnée.

Quand ce sont les consommateurs qui créent la valeur.
Le C2C repose sur les échanges entre particuliers : vente, location, entraide… souvent facilités par des plateformes (Vinted, Leboncoin, Blablacar, etc.)

C’est un modèle basé sur la confiance, la transparence, la recommandation.
Dans ce cadre, chaque utilisateur peut devenir à la fois créateur, vendeur et ambassadeur.

C’est une forme de communication horizontale, communautaire, qui redéfinit les codes du marketing traditionnel.

C’est la vitrine digitale de votre activité, souvent le premier contact entre votre marque et vos publics.
On y découvre qui vous êtes, ce que vous proposez, et comment vous contacter ou acheter.
Texte, images, vidéos, formulaires… Tout doit y être pensé pour informer, séduire, convertir.
Un site bien conçu, c’est une expérience de marque à part entière.

C’est l’art d’être trouvé sans payer.
Le SEO regroupe un ensemble de techniques destinées à améliorer votre position dans les résultats des moteurs de recherche (comme Google).
Objectif : attirer un trafic qualifié, organique et durable.
Cela passe par les mots-clés, la qualité du contenu, la structure du site, les liens et bien d’autres optimisations.

Les bons mots au bon endroit.
Les mots-clés sont les ponts entre ce que cherche votre audience et ce que vous proposez.
Bien choisis, ils permettent de positionner vos contenus là où vos futurs clients vous attendent déjà.

Un contenu de qualité est clair, fluide et bien organisé.
Titres, intertitres, paragraphes courts, mise en page aérée : tout compte pour faciliter la lecture humaine et la compréhension par les moteurs de recherche.
Un bon texte informe, rassure et incite à l’action.

onnecter, c’est orienter.
– Les liens internes : ils relient les pages entre elles sur votre site et améliorent la navigation.
– Les liens externes : ils pointent vers (ou depuis) d’autres sites et renforcent votre autorité.
Un bon maillage aide à la fois l’utilisateur et Google à comprendre la logique de votre site.

La newsletter vous permet de partager vos nouveautés, articles, offres ou coulisses… et de créer un rendez-vous régulier avec votre audience.
Elle fidélise, génère du trafic vers le site, et maintient une relation de proximité.

Chaque article est une pièce de contenu ciblée.
Il traite un sujet précis pour informer, convaincre ou inspirer.
Un bon article combine valeur ajoutée, mots-clés bien choisis et structure claire, tout en exprimant votre ton de marque.

Le cœur éditorial de votre site.
Un blog permet de partager des contenus réguliers, utiles et stratégiques : conseils, actualités, coulisses, expertise métier.
C’est un outil puissant pour le SEO, mais aussi pour nourrir votre communauté et renforcer la crédibilité de votre marque.

La preuve sociale par excellence.
Les avis laissés par vos clients influencent fortement les nouveaux visiteurs… et votre position dans les résultats locaux.
Répondre aux commentaires, encourager les retours positifs : c’est un levier d’image et de conversion à ne pas négliger.

Votre carte de visite locale sur Google et Maps.
Avec une fiche entreprise gratuite, vous affichez : adresse, horaires, photos, téléphone, avis clients…
C’est un outil essentiel pour les commerces, services de proximité ou toute marque souhaitant être visible géographiquement.

La visibilité immédiate sur les moteurs de recherche.
Google Ads permet d’afficher des annonces ciblées au sommet des résultats, selon des mots-clés choisis.
Idéal pour générer du trafic ou des conversions rapidement, notamment lors de lancements, promotions ou campagnes événementielles.
Les annonces sont identifiées par la mention “sponsorisé”.

Chaque seconde compte.
Un site lent fait fuir les visiteurs… et Google.
Réduire le poids des images, optimiser les scripts, choisir un bon hébergement : tout cela améliore la performance, l’expérience utilisateur et le référencement.

Aujourd’hui, plus de 50 % du trafic vient du mobile.
Un site responsive s’adapte à tous les formats d’écran (téléphone, tablette, ordinateur).
Un site non adapté = un visiteur perdu.
L’expérience mobile n’est plus une option : c’est une exigence.

Ce sont les repères invisibles qui structurent vos pages web.
Titres (H1, H2…), méta-descriptions, balises alt des images : elles aident les moteurs à comprendre le contenu et améliorent la lisibilité globale.
Bien utilisées, elles boostent le SEO et l’accessibilité.

C’est l’ensemble des actions menées pour faire rayonner votre marque sur le web.
SEO, publicité, réseaux sociaux, emailing, automation…
L’objectif : attirer, convertir, fidéliser.
Le webmarketing est à la fois une science des données et un art du lien. Il repose sur une vision globale, des outils efficaces et une stratégie adaptée à vos cibles.

C’est la base de toute démarche marketing réussie.
Une stratégie marketing définit les objectifs à atteindre (acquisition, notoriété, fidélisation, positionnement…) et les moyens pour y parvenir.

Elle encadre les campagnes, structure les messages, et permet de garder le cap malgré les imprévus ou les effets de mode. Sans stratégie, difficile de savoir si l’on avance et vers où.

Plutôt que d’imposer un discours commercial, cette stratégie repose sur la production de contenus utiles, inspirants ou éducatifs pour votre audience cible.

Blog, vidéo, newsletter, podcast, réseaux sociaux…Chaque contenu sert à créer du lien, à installer une expertise, et à faire grandir une communauté autour de la marque. Idéal pour construire une relation de confiance dans la durée.

Souvent considérée comme la partie la plus directe du marketing, la prospection reste essentielle, surtout en B2B. Il s’agit d’identifier, qualifier et entrer en contact avec des prospects potentiellement intéressés par vos offres.

Appels, e-mails, LinkedIn, salons… La prospection s’appuie sur la personnalisation, l’écoute active et l’intelligence relationnelle, loin des scripts impersonnels d’antan.

Le Push consiste à pousser l’offre vers le consommateur : publicités directes, promotions, prospection… On déclenche l’attention.
Le Pull, à l’inverse, attire naturellement grâce à la valeur perçue : SEO, storytelling, branding, marketing d’influence… C’est le client qui vient de lui-même.

Utilisées ensemble, ces deux approches permettent d’équilibrer la notoriété, l’engagement et la conversion, en s’adaptant aux différents contextes et cycles de décision.

Recommander une marque à un proche reste l’un des gestes les plus puissants et les plus sincères.

Le bouche-à-oreille repose sur la satisfaction, la fidélité et l’attachement. Il ne se décrète pas : il se mérite.

En créant des expériences positives, mémorables et partagées, une marque peut transformer ses clients en ambassadeurs naturels, et sa réputation en moteur de croissance.

Véritable animateur de la présence sociale d’une entreprise, le community manager est en première ligne sur les réseaux. Il publie, répond, commente, modère, et surtout : crée du lien avec la communauté.

Il transforme de simples abonnés en ambassadeurs fidèles, en gardant un œil attentif sur les tendances et en ajustant sans cesse le ton, les formats et les messages.

Si le community manager gère l’instant, le social media manager pense le long terme.

Il définit la vision éditoriale, choisit les plateformes, fixe les objectifs, élabore les calendriers de publication et pilote les campagnes sponsorisées. Il mesure, analyse, ajuste.

Son rôle : faire des réseaux un levier stratégique de visibilité et de performance.

Il veille à la cohérence des messages, en interne comme en externe.

Qu’il s’agisse d’écrire un communiqué de presse, de piloter une campagne d’affichage ou d’organiser une prise de parole en public, le chargé de communication orchestre les actions de manière fluide et alignée avec les valeurs de l’entreprise.

Il jongle avec les canaux (print, digital, événementiel, médias), toujours avec clarté et intention.

Il est le lien entre les idées et leur concrétisation.

Son quotidien ? Coordonner les équipes, gérer les plannings, suivre les budgets, anticiper les imprévus et s’assurer que chaque projet aboutisse dans les délais impartis.

Organisation, rigueur et sens de la collaboration sont ses meilleurs alliés.

Sa mission est claire : faire monter les autres en compétence.

Qu’il intervienne en entreprise, dans une école ou en ligne, le formateur sait rendre accessible ce qui paraît complexe.

Il conçoit des contenus pédagogiques clairs, vivants, interactifs, et s’adapte aux besoins de ses apprenants.

Avec son œil aiguisé et sa maîtrise des outils de création, le graphiste traduit l’essence d’une marque en formes, couleurs et images.

Il conçoit logos, visuels, supports digitaux ou imprimés.

Il ne se contente pas de faire “joli” : il donne du sens et de la cohérence à chaque élément graphique.

Qu’il travaille sur une interface digitale, un produit ou un espace, le designer place l’expérience au cœur de sa démarche.

Il conçoit des parcours fluides, intuitifs et esthétiques, pensés pour l’utilisateur.

Ses créations répondent à des usages réels, en croisant technique, ergonomie et esthétique.

C’est lui qui transforme une marque en expérience vivante.

Conférences, lancements de produit, salons ou soirées : il imagine des événements qui marquent les esprits.

Il gère tout de A à Z, du concept à la logistique, avec un sens aiguisé du détail et de la scénographie.

Il écrit pour faire réagir, ressentir, agir.

Slogan, script, affiche, newsletter, post Instagram : il adapte chaque mot au support, à l’audience, au moment.

Son talent réside dans sa capacité à résumer une idée forte en quelques mots qui frappent juste. Son style est sa signature.

Avant de se lancer, on observe.

Un audit marketing, c’est un diagnostic complet pour faire le point : points forts, faiblesses, positionnement, cibles, concurrence…

Idéal pour (re)poser les bases, ajuster sa stratégie ou préparer un lancement.

Gagnez du temps.

Avec des outils d’automatisation, certaines tâches (comme l’envoi d’e-mails, le suivi de leads ou les relances) deviennent automatiques.

Objectif → efficacité, fluidité, personnalisation.

C’est le portrait-robot de votre client idéal.

Basé sur des données réelles, il rassemble ses habitudes, besoins, freins…

Résultat → une vision claire pour mieux parler à vos cibles, avec les bons mots, au bon moment.

Une invitation à passer à l’action.

Ce n’est pas seulement un bouton : c’est tout élément — texte, lien, image ou design — qui pousse l’utilisateur à agir.

Pour être efficace, un CTA doit être :

• Clair : l’utilisateur comprend ce qu’il va obtenir.
• Visible : il attire l’œil sans être agressif.
• Pertinent : il correspond à l’intention ou au moment du visiteur.

Le bon CTA transforme une simple visite en action concrète : clic, inscription, achat, téléchargement

C’est le moment qu’on rêve tous : où un visiteur devient un prospect, ou un client.

Téléchargement, inscription, achat : chaque action compte.

Combien vous coûte chaque clic sur votre pub ?

C’est un indicateur de performance essentiel pour mesurer la rentabilité de vos campagnes payantes.

Formule : CPC = coût total ÷ nombre de clics.

De la curiosité à la fidélité.

Ce parcours en 4 étapes structure votre stratégie

1. Attirer grâce à un contenu utile.
2. Convertir avec des formulaires ou offres.
3. Transformer avec des actions ciblées.
4. Fidéliser pour faire de vos clients des ambassadeurs.

Faites venir vos clients à vous.

En créant du contenu pertinent (articles, guides, vidéos…), vous attirez naturellement ceux qui ont besoin de vous.

Les données sont vos alliées.

En analysant les comportements et préférences de vos clients via leurs données, vous orientez vos décisions de manière plus précise.

Moins d’intuition, plus de pertinence.

L’approche plus directe.

Publicités, campagnes e-mailing, démarchage… Ici, vous allez vers vos prospects.

Moins subtil que l’inbound, mais toujours utile pour toucher un large public rapidement.

Le ROI mesure ce que vous avez gagné vs. ce que vous avez dépensé.

Indispensable pour arbitrer vos budgets et orienter vos actions.

Un message, plusieurs canaux.

E-mails, réseaux sociaux, site web, SMS…

L’idée → offrir une expérience fluide et cohérente, quel que soit le support.

Le bon message, au bon moment, au bon endroit.

Des techniques/méthodes agiles et souvent peu conventionnelles pour faire décoller un produit ou un service. Le terme ‘Growth” fait référence à l’objectif de croissance rapide.

Une page. Un objectif.

Pensée pour convertir, la landing page concentre l’attention sur une action : inscription, achat, téléchargement.

Simple, directe, optimisée.

Attirer les bons visiteurs, capter leur attention.

Un lead est une personne intéressée, qui vous a laissé ses coordonnées.

Avec du contenu de qualité, vous créez une base de prospects à nourrir dans le temps.

Créer une vraie relation.

Au-delà de la vente, il s’agit de construire un lien de confiance durable avec vos clients.

Messages personnalisés, fidélisation, écoute : l’humain avant tout.

Ne laissez pas filer vos visiteurs.

Grâce à cette stratégie, vous relancez ceux qui ont visité votre site sans passer à l’action.

Objectif → ramener l’internaute au bon moment, avec le bon message.

Tous vos clients ne se ressemblent pas.

Regroupez-les par profils (âge, comportement, préférences…) pour adresser des messages sur-mesure, qui parlent vraiment à chacun.

Le bon contenu génère des clics.

Le CTR est un indicateur qui mesure l’efficacité de vos liens et annonces. Plus il est élevé, plus vos contenus plaisent.

Ce sont deux facettes essentielles de la conception digitale.

• L’UX s’intéresse à ce que vit l’utilisateur quand il interagit avec un produit (site, appli, service…). Objectif → proposer une navigation fluide, intuitive et agréable.
• L’UI concerne la partie visible et interactive de votre site ou application. C’est ce que voit et utilise l’internaute (couleurs, typographies, boutons, menus, icônes…). Objectif → proposer une interface cohérence, esthétique et facile à manipuler.

Plateformes en ligne permettant de créer, partager et interagir avec du contenu sous forme de textes, images, vidéos ou sons. Ils facilitent la communication entre individus ou communautés autour d’intérêts communs.

Exemples : Instagram, TikTok, LinkedIn, X (anciennement Twitter), Pinterest, Facebook, Snapchat.

Il mesure l’interaction entre votre audience et vos contenus : likes, commentaires, partages, clics, sauvegardes… Un bon engagement reflète une communauté active, intéressée et fidèle.

Il est souvent calculé par la formule : (interactions ÷ portée) x 100.

C’est le moteur invisible qui décide ce que chaque utilisateur voit en priorité dans son fil d’actualité. Il se base sur des critères comme les interactions passées, la fréquence d’usage, les types de contenus aimés, et les centres d’intérêt.

Comprendre l’algorithme, c’est comprendre comment booster naturellement sa visibilité.

C’est l’action de faire défiler une page ou un flux de contenu avec son doigt ou la souris.

Le scroll infini est conçu pour garder l’utilisateur actif — plus il scrolle, plus il consomme.

C’est l’espace d’accueil d’un réseau social. On y retrouve les publications des comptes suivis, mais aussi des suggestions, des pubs, des tendances.

Il change à chaque consultation, en fonction des préférences de chacun.

C’est un mot-clé précédé d’un dièse, qui permet de catégoriser un contenu, de suivre une tendance ou d’augmenter la portée d’un post.

Bien utilisés, les hashtags peuvent vous relier à des communautés ciblées et à des conversations pertinentes.

Ce sont les indicateurs clés pour mesurer l’efficacité de vos actions.

En social media, cela inclut le nombre d’abonnés, le taux de clics, le taux de conversion, le temps passé sur un contenu, etc.

Un outil de pilotage qui structure vos publications à venir : quoi poster, quand, où, pour qui, avec quel objectif.

Il aide à gagner en régularité, en cohérence, et à anticiper les temps forts (saisonnalité, actus, lancements…).

Un petit morceau de code à installer sur votre site web. Il permet de suivre les comportements des internautes après avoir vu ou cliqué sur une pub (conversion, panier, achat…), afin d’optimiser vos campagnes.

Espace communautaire mêlant canaux de discussion, audio et textes. Idéal pour fédérer une communauté autour d’une passion ou d’un projet.

Nouvelle plateforme textuelle lancée par Meta, pensée comme une alternative à X. Permet de publier, commenter, partager des réflexions en format écrit.

Ce sont les personnes qui choisissent de suivre votre compte. Leur nombre n’est pas tout, c’est l’engagement qu’elles montrent qui fait la qualité d’une communauté.

C’est l’ensemble des créations que vous publiez : visuels, textes, vidéos, carrousels, lives, GIFs…

Un bon contenu est à la fois utile, engageant, esthétique et aligné sur vos objectifs de marque.

Il s’agit des formats, sons, mèmes ou sujets populaires du moment.

Les identifier et les utiliser rapidement peut considérablement augmenter la portée et l’engagement de vos publications.

C’est l’écoute active de ce que les internautes disent de votre marque, de vos concurrents ou de votre secteur.

Elle permet d’identifier les signaux faibles, les tendances émergentes, et les opportunités de communication.

Ce sont les contenus créés par les utilisateurs autour d’une marque. Un avis, une photo, une vidéo de produit en situation…

L’UGC est puissant car spontané et crédible aux yeux des autres clients.

Un créateur de contenu qui a construit une communauté fidèle et engagée. Grâce à sa crédibilité, il ou elle peut influencer les comportements d’achat, sensibiliser à une cause ou donner de la visibilité à une marque.

Courtes vidéos dynamiques (souvent entre 15 et 60 secondes), mises en avant par l’algorithme d’Instagram. Inspirés de TikTok, ils sont devenus un canal puissant pour gagner en visibilité.

Un format vertical, court et éphémère (souvent 24h), pensé pour partager des coulisses, des moments spontanés ou des appels à l’action rapides.

Très engageant, notamment sur Instagram, Facebook et Snapchat.

C’est le nombre de personnes uniques qui ont vu votre publication.

Contrairement aux impressions, chaque utilisateur n’est compté qu’une fois.

Plateforme de streaming en direct. On y trouve du gaming, des talk-shows, de l’art ou de la musique. Une communauté très engagée, adepte de l’interaction.

Plateforme de contenus éphémères, centrée sur l’échange entre amis. Très populaire chez les 15–25 ans.

Format audio disponible à la demande. Très utilisé pour s’informer, se former ou se divertir. Un excellent levier de contenu pour asseoir son expertise.

Une plateforme généraliste aujourd’hui davantage utilisée par les 35+. Elle reste efficace pour créer des événements, activer des communautés (groupes) et diffuser des publicités locales.

Un réseau visuel basé sur la photo et la vidéo. Idéal pour construire une image de marque, toucher les jeunes adultes, et déployer des formats variés : feed, stories, reels, lives.

Le réseau social professionnel. On y publie ses réussites, ses expertises, ses projets. Il est aussi très efficace pour développer son personal branding ou le social selling B2B.

Réseau de l’instantané, du débat, de la news. Particulièrement actif chez les journalistes, décideurs, institutions.

Un moteur d’inspiration visuelle. Très utilisé dans les domaines créatifs (mode, déco, food). Idéal pour capter du trafic qualifié sur le long terme.

Réseau de vidéos courtes au scroll infini. Algorithme ultra-puissant, ton décomplexé, public très jeune. Excellent terrain de jeu pour tester des formats viraux.

Il désigne le nombre total de fois où votre contenu a été affiché à l’écran, même si la même personne le voit plusieurs fois. C’est un bon indicateur de visibilité.

Avec entre 5 000 et 15 000 abonnés, ce profil est perçu comme plus proche, plus authentique, et souvent plus engageant que les “grands” influenceurs.

C’est tout simplement ce que tu postes sur ton compte (photo, vidéo, texte…). Ça reste visible, contrairement aux stories qui disparaissent.

Il s’agit d’un contenu organique auquel on ajoute un budget publicitaire. Cela permet de le montrer à une audience plus large ou plus ciblée (même si elle ne vous suit pas).

Indique le pourcentage de visiteurs qui quittent votre page sans avoir interagi.

Sur un lien partagé sur les réseaux, un taux élevé peut signaler un manque de cohérence ou d’intérêt entre la promesse du post et le contenu réel.

L’art de choisir les mots qui font agir : cliquer, s’abonner, acheter. Le copywriter parle aux émotions, soulève un besoin et mène le lecteur vers un call-to-action irrésistible.

Créer des articles, vidéos, infographies, podcasts… pour attirer une audience, instaurer la confiance puis convertir. De la valeur d’abord ; la vente suit naturellement.

Les expressions que vos prospects tapent dans Google. On vise :

1. Pertinence (en phase avec votre offre).
2. Volume (recherchées, mais pas saturées).
3. Intention (information, comparaison, achat). Bien choisis, ils alignent votre contenu sur les attentes réelles du public.

• Off-page : tout ce qui pointe vers elle (backlinks, mentions, réseaux). Les deux combinés sculptent votre visibilité dans les moteurs de recherche.
• On-page : tout ce qui vit sur votre page (titres, balises, textes, images).

Les grandes thématiques qui structurent votre ligne éditoriale. Ils guident la création, rassurent Google sur votre expertise et aident les lecteurs à se repérer.

Séminaire vidéo en direct. On montre, on échange, on répond aux questions – et on crée un lien fort avec les participants, où qu’ils soient.

Publier sur le blog d’un tiers (ou l’inviter sur le vôtre). Double bonus : audience élargie pour l’auteur, contenu frais pour l’hôte, et des backlinks pour tout le monde.

Mettre à jour un contenu existant pour qu’il reste exact, pertinent et bien positionné. Souvent plus rentable que de repartir de zéro !

Adapter son contenu aux recherches parlées : phrases naturelles, questions complètes, réponses courtes et claires. Incontournable avec l’essor des assistants vocaux.

Les mots cliquables d’un lien. Clairs, descriptifs et naturels, ils aident l’utilisateur… et signalent à Google le sujet de la page cible.

L’écriture au service de l’expérience utilisateur : micro-textes (boutons, messages d’erreur, libellés) qui orientent, rassurent et fluidifient la navigation.

Pourcentage de répétition d’un mot-clé dans le texte. Trop faible : invisibilité. Trop élevée : bourrage pénalisé. L’équilibre : écrire naturellement autour du sujet.

Un bonus contextuel (PDF, checklist) offert à la fin d’un article en échange d’un email. Parfait pour capter des leads tout en apportant de la valeur supplémentaire.

Une information transformée en visuel : chiffres clés, process, comparatif. Facile à lire, mémorable, ultra-partageable.

Tout contenu gratuit (guide, mini-formation, essai) échangé contre les coordonnées d’un visiteur. Première étape pour nourrir la relation.

Rebondir sur une actu ou une tendance pour gagner visibilité et pertinence. Timing et cohérence obligatoires — sinon, bad buzz assuré.

Équation gagnante : lisibilité + valeur + optimisation. On écrit d’abord pour l’humain, on ajuste pour Google : structure claire, mots-clés placés avec tact, liens utiles.

Jusqu’où vos lecteurs descendent-ils ? Cet indicateur révèle les sections fortes… et celles à repenser.

C’est une formation organisée sur mesure, directement pour une entreprise et ses équipes.

Elle répond à des enjeux réels, avec des exemples concrets issus du quotidien, et crée une dynamique collective propice à l’apprentissage.

Objectif : apprendre ensemble pour progresser ensemble.

Un format hybride : un mélange de présentiel et de digital.

Le Blended Learning permet d’alterner temps en autonomie (vidéos, modules en ligne) et accompagnement humain (formateur, coaching, ateliers).

Résultat : une expérience plus souple, plus engageante, plus efficace.

Avant toute formation, on commence par écouter.

Le diagnostic permet d’identifier les besoins réels, les écarts de compétences, les attentes spécifiques.

C’est la boussole qui guide toute l’ingénierie pédagogique.

Des contenus accessibles quand on veut, où on veut.

L’e-learning permet de se former à son rythme, seul ou accompagné, via des modules interactifs.

Un format flexible, souvent découpé en leçons courtes, idéal pour monter en compétences sans tout bousculer.

C’est l’apprentissage en mini-dose.

Une vidéo de 3 minutes, un quiz de 5 questions, une infographie synthétique…

Le microlearning s’intègre facilement dans une journée, tout en renforçant la rétention d’informations.

– À chaud : juste après la formation, on évalue les impressions, la satisfaction, la pédagogie.

– À froid : plusieurs semaines plus tard, on mesure l’impact réel sur le terrain.

Est-ce que les connaissances sont utilisées ? Est-ce que ça change quelque chose au quotidien ?

Un duo indispensable pour évaluer l’efficacité.

La certification Qualiopi atteste du sérieux d’un organisme de formation.

Elle garantit des processus de qualité et rend les formations éligibles à des financements publics (CPF, OPCO, etc.).

Un vrai gage de confiance pour les apprenants comme pour les financeurs.

Les compétences humaines, comportementales, relationnelles.

Savoir écouter, s’adapter, collaborer, gérer son stress ou son temps…

Elles ne s’apprennent pas dans les manuels, mais elles sont essentielles dans toutes les situations professionnelles.

C’est l’outil RH stratégique des entreprises pour planifier les formations de leurs collaborateurs.

Il structure la montée en compétences sur le long terme, en lien avec les objectifs métiers et individuels.

C’est l’inverse de l’improvisation.

Un accompagnement personnalisé (individuel ou collectif), mené par un coach certifié.

Objectif : débloquer, révéler, faire progresser.

Pas de cours magistral ici, mais un cadre de confiance pour poser les bonnes questions, prendre du recul et avancer en conscience.

Des formats courts, concrets, interactifs.

Les workshops misent sur l’intelligence collective pour résoudre un problème, tester une idée, apprendre autrement.

On co-construit, on expérimente, on apprend en faisant.

Construire sa marque personnelle, c’est façonner son image pro avec cohérence et authenticité.

Cela passe par les réseaux, les prises de parole, les contenus, mais aussi par vos actes et votre posture.

Un levier essentiel pour se démarquer — et inspirer confiance.

Les compétences techniques, précises et souvent mesurables.

Utiliser un logiciel, coder, rédiger, parler une langue, gérer un projet…

Elles sont essentielles — et souvent associées à une certification ou un diplôme.

Vous avez appris sur le terrain ?

Avec la VAE, vous pouvez faire reconnaître officiellement vos compétences acquises en situation de travail, sans forcément repasser par une formation classique.

Une belle façon de valoriser son parcours pro.

Un CRM, c’est la mémoire vivante de vos relations commerciales.

Il centralise toutes les interactions avec vos prospects et clients :

– Qui a été contacté ?

– Quand ?

– Par qui, pourquoi, et avec quel résultat ?

Résultat : une relation client plus fluide, plus personnalisée, plus performante.

Un allié précieux pour votre équipe commerciale… et votre stratégie de fidélisation.

Comprendre votre audience, c’est la première étape pour bien communiquer.

Google Analytics vous donne une vision précise de la vie de votre site :

– Qui vous rend visite ?

– Depuis où, et avec quel appareil ?

– Combien de temps restent-ils ?

– Quelles pages performent (ou pas) ?

En résumé : des données précieuses pour prendre de meilleures décisions marketing.

WordPress est un CMS — un système de gestion de contenu — qui permet de créer un site web sans ligne de code.

Blog, site vitrine, e-commerce…

Son interface intuitive et ses milliers de plugins en font un outil puissant, souple et largement adopté dans le monde.

Un bon point de départ pour publier, tester, évoluer.

Une heatmap montre où les utilisateurs cliquent, scrollent, s’arrêtent ou quittent votre site.

C’est comme si vous voyiez votre page à travers leurs yeux.

Les zones rouges → zones chaudes = fortes interactions.

Les zones bleues → froides = peu vues.

Un outil précieux pour améliorer l’ergonomie, booster vos CTA et optimiser vos parcours utilisateurs.

Le responsive, c’est l’art de rendre un site fluide sur tous les écrans.

Mobile, tablette, desktop : quelle que soit la taille, votre contenu s’ajuste automatiquement.

Un impératif aujourd’hui, quand plus de la moitié des visites se font sur smartphone.

Et un bonus pour votre SEO, car Google favorise les sites mobile-friendly.

L’intelligence artificielle… qui crée.

Texte, image, vidéo, musique, code — à partir d’un simple prompt, l’IA générative produit du contenu original en s’appuyant sur une immense base de données existantes.

Exemples : ChatGPT, Midjourney, Runway…

Un outil puissant pour enrichir votre créativité, à condition de savoir cadrer, relire, et contextualiser.

C’est votre image numérique, celle que Google, les réseaux et les forums renvoient à votre propos.

Elle se construit via les :

– avis clients

– contenus publiés

– articles et mentions

– interactions sociales

Veiller à sa e-réputation, c’est écouter ce qui se dit, répondre avec tact, valoriser les retours positifs et agir en cas de crise.

Le métavers désigne un ensemble d’univers immersifs accessibles via la réalité virtuelle ou augmentée. On y retrouve des avatars, des expériences interactives, parfois des boutiques ou des événements de marque.

Encore émergent, mais déjà exploré par des acteurs comme Nike, Balenciaga ou Carrefour.

C’est LE format roi.

Engageante, rapide, explicite, la vidéo permet de montrer, raconter, convaincre en quelques secondes.

Tutos, témoignages, interviews, reels, lives : le marketing vidéo s’adapte à tous les canaux… et à toutes les intentions.

Et bonus : elle booste aussi le SEO.

Vendre en créant du lien via les réseaux.

Le social selling consiste à utiliser les réseaux sociaux (surtout LinkedIn) pour interagir avec vos prospects, construire une relation, partager du contenu utile et, in fine, transformer l’échange en opportunité business.

Authentique, humain, puissant.

Un client = une expérience fluide, peu importe le canal.

Site, email, réseaux, magasin, chatbot : tout est connecté, tout est aligné.

L’omnicanal, c’est l’art de faire circuler votre client entre les points de contact sans jamais perdre le fil ni le sens.

Trop de contenus, pas assez d’attention.

C’est le constat actuel : la production dépasse largement la capacité d’attention des utilisateurs.

Résultat → seuls les contenus vraiment utiles, originaux ou bien pensés tirent leur épingle du jeu.

La solution ? Moins, mais mieux.

Ce sont des balises invisibles qui permettent à Google de mieux comprendre votre contenu.

Grâce à elles, vous pouvez faire apparaître dans les résultats :

– des étoiles d’avis

– des FAQ

– des horaires, des prix, des images…

C’est ce qui permet d’obtenir les fameux rich snippets. Un must pour booster votre visibilité SEO.

Et si on remettait l’humain au cœur ?

Cette approche consiste à créer une stratégie centrée sur les valeurs, les émotions, les besoins réels.

Moins de promesses, plus d’écoute.

Objectif : bâtir une relation durable et sincère au-delà de la vente.

Les consommateurs ne veulent plus juste acheter. Ils veulent acheter mieux.

Le green marketing consiste à valoriser vos engagements (environnement, éthique, impact) de manière honnête et vérifiable.

Pas de greenwashing ici : des preuves, des actes, et une vraie cohérence de marque.

Une publicité… qui ne ressemble pas à une pub.

Le native ad s’intègre naturellement dans un fil d’actualités, un article ou un site, en reprenant les codes éditoriaux du média.

Discret, efficace, souvent plus engageant que les bannières classiques.

Un NFT est un objet numérique unique, enregistré sur une blockchain.

Image, vidéo, son, certificat d’accès : il devient traçable, revendable, et souvent collectionnable.

Utilisés dans l’art, les jeux, les communautés, les NFT ouvrent la voie à de nouvelles formes de valeur et de fidélisation.

Quand réel et digital se rencontrent.

C’est un salon, une conférence, un atelier… enrichis de composantes numériques :

– réalité augmentée

– QR codes interactifs

– live streaming

– applications immersives

Un format hybride, vivant, pensé pour élargir les expériences.

“OK Google, quelle est la meilleure choucroute à Strasbourg ?” La recherche vocale change la donne : plus naturelle, plus contextuelle.

Elle demande d’adapter votre contenu pour répondre à l’oral. Une nouvelle grammaire SEO à maîtriser.

Un client fidèle vaut mieux qu’un prospect incertain.

La rétention consiste à garder vos clients engagés, grâce à des attentions personnalisées, des offres dédiées, un vrai suivi.

C’est ce qui transforme une transaction en relation et un client en ambassadeur.

Invisible, mais précieux.

Le alt text est une courte description d’une image, intégrée dans le code HTML.

Elle permet :

– aux moteurs de recherche de comprendre le contenu visuel (et de mieux indexer la page),

– aux lecteurs d’écran d’aider les personnes malvoyantes à naviguer.

Un bon alt text est clair, descriptif, concis… et toujours utile au SEO.

C’est une note de confiance de votre site, comprise entre 1 et 100.

Plus votre score est élevé, plus Google considère votre site comme fiable et pertinent.

Elle dépend de plusieurs critères :

– qualité des backlinks (liens entrants)

– ancienneté du site

– solidité du contenu

Ce n’est pas un critère officiel de Google, mais un excellent indicateur de performance SEO.

Des recommandations qui comptent.

Un backlink, c’est un lien d’un site externe qui pointe vers le vôtre.

Plus vous en avez — surtout depuis des sites crédibles et liés à votre domaine — plus Google valorise votre site.

Attention : tous les backlinks ne se valent pas.

Un lien depuis un média reconnu > 10 liens depuis un forum douteux.

Le côté obscur du référencement.

Ce sont des techniques trompeuses, interdites par Google, pour essayer de gagner des positions : bourrage de mots-clés, contenus cachés, duplication, faux liens…

Ça peut marcher… un temps.

Mais une fois repéré, votre site risque une pénalité sévère : perte de visibilité, d’indexation, voire de trafic.

À fuir.

Un site bien organisé, pour Google et pour l’humain.

Le cocon sémantique consiste à regrouper les contenus autour de thématiques fortes, liées entre elles par des liens internes intelligents.

Par exemple :

👉 Page mère « SEO »

➡ Pages filles « backlinks », « mots-clés », « rich snippets »…

Résultat : un site clair, logique, bien structuré. Google adore.

Parfait pour les commerces de proximité.

Le marketing local consiste à optimiser votre présence pour des recherches géographiquement ciblées :

– Fiche Google My Business

– Avis clients

– Référencement dans Google Maps

C’est ce qui permet à un client proche de vous de vous trouver rapidement.

C’est tout ce que vous mettez en place pour que Google vous trouve naturellement.

Mots-clés bien choisis, structure claire, contenu utile, maillage interne, backlinks…

Le SEO prend du temps, mais il attire un trafic qualifié, organique et durable — sans dépenser un centime en pub.

C’est la page qui s’affiche après une recherche Google.

Elle contient :

– les résultats naturels (liens bleus)

– les annonces sponsorisées

– les extraits enrichis, les FAQ, les maps…

Objectif : être visible sur la SERP, si possible dans le top 3. Car c’est là que se concentrent la majorité des clics.

Des petits bonus très visibles.

Les rich snippets sont des éléments complémentaires qui apparaissent dans la SERP :

⭐️ notes d’avis

💬 FAQ

💲 prix

📸 images

Ils attirent le regard, augmentent la confiance, et surtout… le taux de clic.

Pour en profiter, il faut structurer vos pages avec des données enrichies (schema.org).

C’est une audience « jumelle », générée automatiquement par les plateformes publicitaires comme Meta, Google, LinkedIn ou TikTok.

Elle est construite à partir d’une audience source (vos clients, abonnés, visiteurs…), et composée de personnes aux profils similaires : mêmes centres d’intérêt, comportements, caractéristiques démographiques.

Objectif : toucher des gens qui ne vous connaissent pas encore, mais qui sont très susceptibles d’être intéressés par votre offre.

C’est un outil redoutable pour élargir sa portée sans perdre en pertinence.

C’est la version express de la publicité.

Vous prenez un contenu publié (souvent sur Facebook ou Instagram), vous y ajoutez un petit budget, vous choisissez une cible… et la plateforme se charge du reste.

Exemple : vous publiez une vidéo → vous y mettez 20 € de budget → elle est montrée à 10x plus de monde. Simple, rapide, efficace pour gagner en portée.

C’est rapide, simple, idéal pour booster la portée ou tester des formats. Mais pour des campagnes vraiment stratégiques, mieux vaut passer par des outils plus complets comme Meta Ads Manager.

C’est la régie publicitaire officielle de Facebook, Instagram, Messenger, etc.

Vous pouvez y lancer des campagnes avec des objectifs précis : notoriété, trafic, conversions, ventes… Vous choisissez vos audiences, votre budget, vos visuels, vos messages.

C’est l’un des outils les plus puissants (et accessibles) pour tester, ajuster, apprendre et faire grandir votre visibilité en ligne même avec un petit budget.

C’est l’essence même du marketing d’influence.

Vous collaborez avec une personne suivie par une communauté engagée pour qu’elle parle de vous, teste vos produits, raconte votre histoire.

Micro ou macro-influenceur, YouTuber, créateur TikTok, expert LinkedIn… à chaque marque son bon partenaire.

Une bonne collaboration repose sur trois piliers :

– la cohérence (valeurs, ton, univers)

– l’authenticité (liberté de ton de l’influenceur)

– la clarté (objectifs et livrables définis)

Quand c’est bien fait, c’est un levier puissant de crédibilité et de visibilité.

C’est un contenu qui dure dans le temps.

Exemples : “Comment réussir une newsletter ?” ou “10 outils gratuits pour le design”. Ce sont des sujets utiles, intemporels, qui répondent à un besoin récurrent.

Il continue à générer du trafic longtemps après sa publication.

C’est une excellente stratégie pour le SEO et pour nourrir vos réseaux sociaux sans devoir tout recréer à chaque fois.

C’est le jackpot des réseaux sociaux. Un contenu devient « viral » quand il est massivement partagé, commenté, relayé en un temps très court. Il sort de votre cercle habituel, franchit des paliers, traverse les plateformes.

Même si la viralité ne se contrôle pas, certains formats s’y prêtent : – contenus drôles ou émotionnels – formats courts, rythmés – sujets d’actualité, clivants ou très identifiables

Mais attention : la viralité ne remplace pas la cohérence de fond.

C’est la visibilité que vous obtenez sans payer.

Elle dépend de plusieurs facteurs :

– la qualité de votre contenu

– l’algorithme de la plateforme

– l’engagement de votre communauté

Plus vos abonnés aiment, commentent, partagent → plus la portée naturelle augmente.

Mais sur la plupart des réseaux, la portée organique diminue progressivement… d’où l’intérêt d’un bon mix entre contenus organiques et campagnes sponsorisées.

C’est ce qui rassure. Les gens ont tendance à faire confiance à ce que les autres aiment, achètent, recommandent.

Quelques exemples :
– Les avis clients
– Les likes ou commentaires sous vos posts
– Les témoignages ou études de cas
– Le nombre d’abonnés ou de partages

Une preuve sociale forte peut faire basculer une hésitation en décision. C’est un levier subtil mais essentiel dans toute stratégie d’acquisition.

C’est la publicité visuelle qu’on retrouve un peu partout sur le web : bannières, encarts animés, vidéos sur les sites d’info, pop-ups…

Elle peut servir à :

– faire connaître une marque (branding)
– recibler des visiteurs passés (retargeting)
– annoncer une promo ou un lancement

C’est le test marketing par excellence.

Vous créez deux versions d’un élément (une pub, un objet d’email, une landing page…), vous les testez sur un échantillon, et vous gardez la plus performante.

C’est simple, rapide, et hyper efficace pour améliorer vos taux de clics, d’ouvertures ou de conversion.

La clé : tester une variable à la fois (titre, visuel, bouton…) pour bien comprendre ce qui fait la différence.

C’est la note (sur 10) que Google donne à vos annonces publicitaires.
Elle dépend de plusieurs critères :
– la pertinence de vos mots-clés
– la qualité de votre landing page
– le taux de clic attendu

Plus votre Quality Score est élevé → moins vous payez pour chaque clic → plus vos annonces sont visibles.
C’est donc un indicateur essentiel pour optimiser vos campagnes Google Ads, tout en maîtrisant votre budget.